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Sang dessus dessous

Sang dessus dessous
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Sang dessus dessous
8 mai 2008

Je suis fonctionnelle.

dsfgh

J'aurais beau, créer sans cesse les blogs les moins visités du monde avec les adresses les plus joyeuses, tristes, intellos, nazes, du monde. J'aurais beau tout faire, ce sera toujours les mêmes mots, toujours les mêmes sensations, que je viendrais vous raconter derrière cette écran sale. Je répète sans cesse les même choses car je n'ai pas grand chose à dire. Au fond, je ne vis rien de bien méchant, je n'suis que moi, petite bestiole au coeur meurtri, au corps flétri, mais que sans cesse on touche, on déshabille, un corps que je malmène, inconsciemment ou non, un corps duquel, j'aimerais prendre la fuite "disparue...pfuuit". Aujourd'hui on était le 7 mai 2008, voilà qui ne nous rajeunit pas tellement. Je me rend compte, que comme à leur habitude, mes mots paraissent totalement absurdes. Ils sont pourtant lourds de sens. Pourtant (ça fait beaucoup de pourtant), ils ne prennent pas tellement de détour, j'appel un chat un chat...enfin je crois. Bref, me voilà, de nouveau, un de ces soirs, à tapoter avec cette lampe coquelicot qui résiste, elle, au temps, à tout ça...qui supporte mes inépties, mes histoires à dormir debout, ou bien celles qui ne tiennent pas debout. Me revoilà à étaler ma sensibilité sur ce clavier, comme j'étalerais du beurre sur une tartine (ceci est une métaphore pertinente...). Me revoilà, un soir de printemps, la fenêtre ouverte, l'odeur du dehors qui vient me chatouiller les narines, le vent frais venant caresser mes épaules nues (eh oui..). Toujours les mêmes instants, les mêmes sentiments. Et ces mots qui s'échappent, qui se fuient qui se rattrapent, ces mots et leur douce mélodie qui flotte dans cet atmosphère, ces mots qui se posent maladroits, mais que je n'efface pas, parce-que ces mots me ressemblent, enfin...je crois. Je n'ai pas envie de m'arrêter car je sais que mes flots de paroles sont plus qu'irréguliers, parce-que je n'vous ai pas dit l'essentiel, parce-que ça me démange tellement à l'intérieur quand je n'écris pas, parce-que je n'ai pas envie d'aller retrouver ma migraine que j'ai laissée seule sur l'oreiller un court instant et qui va certainement me le faire payer, très cher. Dans 25 minutes, je pourrais reprendre un cachet sans risquer l'intoxication, mais je me demande là si je n'en prenais pas, dans le fond ce que ça changera.

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25 avril 2008

L'article beateau...on est tous passé par là. Désolée de l'infliger une fois encore à d'éventuels visiteurs.

J'crois qu'les histoires d'amour c'est comme les voyages en train, et quand j'vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un, pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ? Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ? Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins, et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins, les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai, ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet, toi aussi tu leur fais signe et t'imagines leurs commentaires, certains pensent que tu t'plantes et qu't'as pas les pieds sur terre, chacun y va d'son pronostic sur la durée du voyage, pour la plupart le train va dérailler dès l'premier orage. Le grand amour change forcément ton comportement, dès l'premier jour faut bien choisir ton compartiment, siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place, tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe ? Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage, tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages, tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure, t'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur. Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile, toi tu te dis que tu n'y es pour rien et que c'est sa faute à elle, le ronronnement du train te saoule et chaque virage t'écoeure, faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le coeur. Et le train ralentit, c'est déjà la fin de ton histoire, en plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare, tu dis au revoir à celle que t'appelleras désormais ton ex, dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex. C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train, et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un, pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ? Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ? Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train, a connaître ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain, pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure, pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur. Il est facile de prendre un train encore faut-il prendre le bon, moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon wagon, car les trains sont capricieux et certains sont inaccessibles, et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible. Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève, et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves, et y a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention, mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station, y a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives, pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive, et y a les aventuriers qu'enchaînent voyage sur voyage, dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page. Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois, on s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi, depuis je traîne sur le quai je regarde les trains au départ, y a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sens à part. Il paraît que les voyages en train finissent mal en général, si pour toi c'est le cas accroche-toi et garde le moral, car une chose est certaine y aura toujours un terminus, maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus.

[ Grand Corps Malade ]

21 avril 2008

Litt. or not ?

aaaaaaaaaaaaaa

Bon, ancienne adepte de "tout le monde en parle", j'ai du me résigner à regarder Ruquier le samedi soir très tard...jusque là rien de bien palpitant, le problème c'est que la suite ne l'est pas tellement non plus. Donc l'autre soir, après avoir vue une certaine Lucia Etxebarria (écrivain), se faire décendre cruellement par les chroniqueurs, j'ai alors décidé en tant qu'adolescente pseudo rebelle d'aller l'acheter dès le lundi. Mais la prochaine fois, j'y réfléchirais à deux fois, car 22 euros pour lire "qu'il faut absolument consulter un thérapeute", que "je devrais penser a faire une psychanalyse" ou "qu'il serait plus sage de rencontrer un psychologue" et que "si je lis ce livre c'est parce-que je suis malheureuse et que je veux que ça change" (qui moi ? Ben euh...non ça va merci...) ça fait mal.

Tout est tellement premier degré et ennuyeux, que je vous avoue sans honte aucune, que je n'ai même pas eut le courage d'aller jusq'à la derniere page. Bien entendu il y a des tas de choses vraies, mais ce sont des choses tellement universelles et tellement connues...bien entendu, ce livre m'a fait réfléchir à certaines choses durant un certain temps (relativement court cependant...) mais bon de rabachage en rabachage, tout ça est très vite lassant. Et puis cette traduction à dormir debout je cite "Griotte sur le cake"...si si je vous assure, j'ai trouvé encore des choses du genre "en trop ou en pas assez"...bref, une lecture un peu exténuante, et répétitive, servie dans un style nul, inexistant, voir meme familier, et que dire de la couverture qui elle non plus est loin de "briser trois pattes à une volaille" haha. Bref si vous avez 22 euros à mettre à la poubelle, alors mettez les à la poubelle et ne cherchez pas plus loin.

21 avril 2008

A Silver Mount Zion en concert.

Horses_In_The_Sky_1_

Le dos cassé, les joues rouges et luisantes, une chaleur étouffante, la tête qui bouillonne et un équilibre de plus en plus précaire....des petits détails, qui nous torturent, mais sous lesquels on ne fléchira pas. Non, car on est en train de se prendre un concentré d'émotion pure en pleine tronche, et que des frissons nous parcourent le corps depuis 1h30 et qu'on aurait presque envie de se pincer tellement c'est dur de croire qu'il est possible de vivre de tel moment. Bref, en résumé, magnifique concert...

Ecouter un extrait

10 avril 2008

Addition - Ataxia

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8 avril 2008

La chanson du [restant de mes] jour...

6 avril 2008

Avril je te reconnais bien là...[épisode 1]

[Pour reconnaitre la vérité, il vous suffit de choisir la pire version, la pire perversion, celle qui vous torture au plus profond de vos entrailles. Oui, oui, c'est elle, à coup sûre, vous ne pourrez pas la louper.]

dDOS

Je ne me laisserais pas abattre par des broutilles. Sauf si j'ai la malchance de n'être qu'un être humain.

5 avril 2008

Réussir sans courage...je ne promet rien.

aaezeg

Le vent fais des ravages dans mes cheveux, il les entortille, les fait claquer contre mes joues, contre mon cou. Le temps fait dérapage, je me retrouve face contre les cailloux. Avant qu'ils aient dit ouf, les masques tombent, les bras m'en tombent, avant d'avoir fait plouf, je me noie dans les prises de conscience, déjà je bois ma déchéance. Je suis saoul, je vais là où mon coeur ne me conduit pas, et je me retrouve toujours plus bas...plus bas...plus bas...voilà. Il y avait tant de chemins qui m'avaient promis le bonheur, il y a tant de chagrins aujourd'hui qui m'effleurent. Il n'y a que ces rimes un peu maladroites, qui despuis toujours ouvrent toutes les vannes en grand, qui m'aèrent un peu les sentiments. Il arrive qu'elles me laissent là, les bras ballants, sur ma chaise, les doigts tremblants au dessus des touches...alors je cri, sans m'arrêter. D'autre fois, le soir assombri mon monde, la musique adoucit les secondes...alors j'écris, sans m'arrêter. Je voudrais rester là éternellement, dans cette pièce, devant cet écran, à coeur ouvert. Fair de chaque larmes un mot, de chaque mot, des histoires complètements saugrenues. Mes histoires. Quoi qu'on en dise, on est tous malheureux à en crever, quoi qu'on en dise, nous l'avons tous bien cherché. On poursuit quelques lubies evanescentes, on oubli nos rêves et on perd le file. Et c'est une fois notre destin sacagée jusqu'à l'os, qu'on se souvient, qu'il est trop tard.

26 mars 2008

Bon les loulous, on sort les violons un p'tit coup?!

Bon, alors j'y vais, profitez-en car c'est pas le genre d'article que j'écris tous les jours. Donc, là tout de suite je regarde une émission nulle dont je tairais le nom tellement j'ai honte, j'ai les mains qui sentent la pomme de terre, et j'ai mal au ventre pour cause de ragnagnas imminentes. Voilà, j'écoute la chanson qui nous suit depuis quelques semaines, et je repense à tous nos moments de voiture [ et Dieu sait qu'il sont nombreux ], ses yeux qui se plissent quand il rigole, ses lunettes de rockstar et ses clopes, sa main sur ma cuisse, cette odeur dans le creux de son cou, cette douceur dans ses bisous. Quand il est là j'ai envie de rire, pleurer, hurler, fois mille. Mes sensations se multiplient, et quand il n'est pas là...j'attend impatiemment de me blottir à nouveau contre son gros manteau kaki, son pull a rayure, et ses T-shirt décrêpis. Est-ce qu'il sait la moitié de ce qui se passe à l'intérieure de ma poitrine quand il m'appel "ma chérie" ? Je n'en ai pas la moindre idée. Et au fond, quel importance ?

Cat Power juste pour le plaisir [ Eurock soon :) ]

26 mars 2008

Non non !

lapin

Cet article n'existe pas.

Et cet énorme lapin en chocolat non plus !

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